La chaleureuse constellation de Sophie Pelletier

Il y a près d’un an, j’ai fait la découverte d’une artiste dont je ne connaissais pas encore l’existence. Lors de son lancement au Cabaret Lion d’Or , je suis tombée en amour avec son univers et son bébé  Les météores  qu’elle présentait à l’époque.

De ce lancement à aujourd’hui, il s’en est passé des choses pour cette auteure-compositrice-interprète dont un voyage en France qui l’a amené à passer le casting de la dernière édition de la Nouvelle Star et récemment la signature d’un contrat dans le label français Space Party et l’agence Music Media Consulting.

Il y a également son projet mêlant musique et gastronomie au nom de Fun, Bouffe & Musique ainsi qu’une tournée un peu partout au Québec. Une artiste complète qui ne se repose pas sur ses acquis et qui ne cesse d’aller plus loin.

C’est de nouveau dans le Cabaret Lion d’Or que Sophie Pelletier a fait sa rentrée Montréalaise dans le cadre de Montréal en lumière hier soir. Un peu comme à la maison, nous avons pu entrer dans la chaleur de son univers en parcourant ses influences et des pièces de ses deux opus, tout ça dans l’humour et en découvrant  des invités surprises.

De la guitare sèche à la guitare électrique ou encore du tambour au tambourin, la chanteuse nous a offert un show exceptionnel mettant en valeur les titres  À l’envers, L’île blanche , Les météores, Pas comme avant, tous issus de son deuxième album.

Au-delà de son talent d’écriture et de musicienne, Sophie nous a encore une fois dévoilé ses qualités d’interprète avec des titres comme Natural Woman (You make me Feel Like A) ou encore Love on the Brain où son étendue vocale et son rauque m’ont littéralement émue et impressionnée. D’ailleurs, ces reprises ont suscité de belles réactions de la part du public.

Accompagné comme toujours de sa trompette et de sa guitare, Jipé Dalpé ,qui est également le metteur en scène du spectacle, a rejoint Sophie pour partager les chansons Changer le cours et Faut qu’on fitte. Un duo qui respire le talent et la passion.

Dans une ambiance feu de camp et une envolée de guimauves à son public, la chanteuse nous a emmené dans le folk de son premier album Le Désert, la tempête.C’est donc en session acoustique qu’elle nous a partagé les morceaux Tous les deux, L’âme à l’envers et Nouveaux printemps.

Daran a lui aussi foulé la scène pour offrir  ses chansons Une sorte d’église et Je repars.

Avant de quitter la scène, Sophie nous a livré la pièce Resté là, et c’est ce que nous avons d’ailleurs fait pour pouvoir faire un tour du monde avec sa voix sur les mots de Daniel Lavoie  et Je voudrais voir New York. 

Une soirée que je définirai de mémorable et parfaitement réussie!

Crédits Photos : Stéphanie Payez/Éklectik Média 

One comment

  1. Je ne vois pas cela du même œil que vous Cette constellation déclats de mots et de symboles permettent un jeu dassociation. Cest votre choix den faire une association négative, mais vous pourriez tout autant associer ces mots qui transcendent des instant plus sombre de la vie à dautres mots plus joyeux, despoir ou encore en faire simplement une poésie du hasard. Cette œuvre, selon moi, permet à ceux qui associent certains des mots illustrés à des phases de leur propre vie de choisir la tangente que prendront leurs associations. Lart nest pas nécessairement un message, mais lart public est certainement adressé à tous. Par ce simple fait, il est normal, je trouve, que des mots de toutes sortes sy trouve afin de correspondre à la réalité du plus grand nombre. Malheureusement, la mort, les maladies et les épreuves difficiles existent et nous ne devrions pas le niez en cachant certaines des pastilles de cette œuvre. Dautant plus que ces mots, que vous dîtes sombres, négatifs et de mauvais goûts, nont pas nécessairement la même signification pour tous.

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