Ce que réserve le deuxième album de Geneviève Leclerc…

Le 12 septembre dernier, lors du dévoilement des nominations pour le 40ième gala de l’ADISQ, nous avons rencontré Geneviève Leclerc pour lui parler de sa toute première nomination à l’ADISQ (qu’on lui a involontairement apprise) ainsi que de son deuxième album qui paraîtra le 9 novembre prochain! Puisque l’interprète a dévoilé hier soir le fantastique premier extrait de ce disque, soit sa reprise de la célèbre Je ne t’aime plus de Mario Pelchat , nous profitons de l’occasion pour vous dévoiler quelques petits secrets sur ce deuxième effort solo fort attendu 😉

 Tu es nommée à l’ADISQ dans la catégorie du spectacle anglophone de l’année pour ton spectacle Portfolio. Quelles sont tes réactions à chaud?

C’est drôle au boutte, vraiment ! J’ai vu mon équipe aujourd’hui, et j’en avais aucune idée! Juste d’être nominée, je suis comme Oh ben voyons,  c’est ben l’fun! L’ADISQ , c’est vraiment quelque chose que je regarde de tellement haut que juste que mon nom soit inscrit sur papier , c’est très intéressant!

Est-ce que ça te surprend un peu que ce soit dans la catégorie anglophone puisque tu chantes aussi en français dans le spectacle?

Ben, il y avait beaucoup d’anglophone aussi, c’est comme un mélange, et l’ADISQ a probablement penché d’un côté. Pour moi, qu’importe anglo ou franco, l’art c’est l’art.

Tu as enregistré ton deuxième album à Prague. Comment s’est déroulé le processus?

Moitié Prague, moitié ici en fait! L’enregistrement des violons  s’est fait à Prague, et le reste de  l’orchestre avant au Québec. On a pris des musiciens de l’OSM (Orchestre Symphonique de Montréal). Ce sera un album très symphonique avec un mélange de reprises et de chansons originales. C’est Sarah Brightman qui rencontre Barbra Streisand! Je me suis inspiré de Sarah pour l’univers très vaporeux.

Quels thèmes veux-tu aborder avec cet album?

Y’a pas vraiment de thèmes particuliers, je me concentre vraiment sur l’interprétation. D’une chanson à l’autre, on a des relectures. Ça va de Tue-moi de Dan Bigras à Je ne t’aime plus  de Mario Pelchat , en passant par Qu’est-ce que ça peut vous faire de Jennifer, une chanteuse française des années 60. Le fil, c’est toujours ça , un mix entre Sarah Brightman et Barbra Streisand Donc, les thèmes diffèrent. En ce moment, on en voit moins des interprètes qui sont très vocales, mais c’est ce que je suis. L’album s’appelle donc Celle que je suis.

Est-ce que l’écriture des chansons est quelque chose qui te tente?

Euh , je travaille là-dessus! Est-ce qu’un jour je vais penser moi-même que mes compositions sont à la hauteur? Peut-être, peut être pas. Je suis très très difficile. Sur l’album, on a  eu recours à des auteurs comme Frédérick Baron , Nelson Minville et Amélie Larocque .On s’entend-tu que je suis mieux de pratiquer pour arriver au jour où je vais être capable d’écrire mieux que ces gens-là?!

Crédits Photos : Stéphanie Payez/Ékectik Média