30 ans de la Socan : les quatre performances les plus marquantes!

Hier soir, à la Tohu, avait lieu la trentième édition de la SOCAN animée de main de maître par Pierre-Yves Lord. Comme la plupart des lauréats sont dévoilés à l’avance, l’attrait principal du gala est les numéros musicaux. Dans une ambiance conviviale, la musique a été célébrée simplement et avec émotions. Voici les numéros inédits qui ont particulièrement frappé la cible.

Étincelante Notre-Dame-de-Paris

Pour célébrer les 20 ans de cette incontournable comédie classique et les prix chanson classique remis à Belle, Vivre et Le temps des cathédrales, Martin Giroux, France D’Amour et Bruno Pelletier sont respectivement venus les interpréter au cours d’un medley d’ouverture puissant. Luc Plamondon et Richard Cocciante, qui ne pouvaient être présents, ont décidé de remettre leur prix aux interprètes, premièrement pour les remercier de faire voyager mondialement ces chansons, et deuxièmement parce qu’ils n’ont plus de place pour déposer tous leurs trophées à la maison!

Un cool hommage

Gilles Valiquette recevait, cette année, le Prix Hommage. Pour souligner comme il se doit la richesse de ses textes, Andréanne A.Malette, Michel Rivard et Richard Séguin se sont unis pour un numéro simple mais réjouissant, spécialement la finale avec Je suis cool à la guitare acoustique et à l’harmonica!

Mélissa Bédard n’est qu’une chanson

Le Prix Empreinte culturelle remis à un membre de la SOCAN a été attribué à Diane Juster pour Je ne suis qu’une chanson. Mélissa Bédard est venue lui offrir la chanson avec intensité et une maitrise vocale parfaite.

Jean Leloup s’amuse

Lauréat de ses trois premiers Classiques de la SOCAN (pour Isabelle, 1990 et Cookie), Jean Leloup, imprévisible comme à son habitude, a décidé de se faire et de nous faire un beau cadeau en offrant pas une pièce comme c’était prévu mais deux issues de son plus récent album,  L’étrange pays. Il a interprété, seul sur scène, la chanson-titre et Passe ton chemin. En forme vocalement et inspirant de par sa liberté, Jean Leloup a évidemment électrisé un public conquis d’avance qui ne voulait pas le laisser quitter la scène.

Crédits Photos : Stéphanie Payez, Éklectik Média