En rappel jusqu’au 11 décembre au Quat’sous, la pièce est sublime et inoubliable. La performance sidérante d’Emmanuel Schwartz y est pour quelque chose.
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En rappel jusqu’au 11 décembre au Quat’sous, la pièce est sublime et inoubliable. La performance sidérante d’Emmanuel Schwartz y est pour quelque chose.
Lire la suiteChantal Baril, qui offre un personnage aussi condescendant qu’humoristique, et la relation père-fils qu’on su instaurer Roger Léger et Renaud Lacelle-Bourdon, tirent leur épingle du jeu.
Lire la suiteLe tour de force de cette œuvre aura donc été de faire prendre autant de place, de faire avoir un si grand impact, à un personnage qu’on ne connait finalement jamais vraiment.
Lire la suiteLe talentueux Florent Siaud qui s’était déjà frotté à Viripaev dans le passé (Illusion) signe, à son habitude, une mise en scène hors paire
Lire la suiteSi la trame narrative chargée nous rend parfois confus, ce texte écrit à quatre mains dans lequel se succèdent un sublime parler poétique et des répliques au joual franchement décomplexé a de quoi surprendre et enchanter à la fois.
Lire la suiteCette nouvelle création de Bouchard est une métaphore bien ficelée, celle de l’embaumement qui se veut une réparation du mal qui a été fait, et une intrigue intéressante qui se dénoue naturellement et de façon fluide.
Lire la suiteParce qu’avoir l’air heureux et être heureux sont des choses bien différentes, on ne peut que ressortir de cette pièce avec l’étrange constat que dans cette société où l’on prône l’évitement des émotions négatives à tout prix, les taux de divorces sont pourtant plus hauts que jamais…
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