Diane Tell : de ses hits à la poésie japonaise de Haïku

Dans le cadre des Francos de Montréal, l’autrice-compositrice et interprète Diane Tell Alias Diane Fortin, est venue bercer les nostalgiques avec une belle sélection de ses plus grands succès. Du haut de ses 63 ans, c’est une dame souriante, toujours aussi charmante qui nous a fait vivre de bons moments avec sa voix si particulière, qui avec les années n’a guère changée.

Une voix que l’on peut également catégoriser de singulière. Nous avons eu droit à des titres comme Souvent longtemps énormément, Gilberto, mais aussi une visite de son tout dernier album Haïku. Pour ceux qui ne connaissant pas le Haïku, il s’agit d’une forme de poésie japonaise qui se veut très brève. La foule montréalaise a su apprécier le talent de madame Diane Tell que ce soit au chant ou brandissant sa guitare acoustique, accompagnée de choristes et de musiciens hors pair afin de fournir un rendu tout à fait remarquable. Le public très nombreux n’a pas hésité à montrer son immense joie d’être là quand l’artiste a chanté sa populaire Si j’étais un homme qui restera un classique de son répertoire, mais aussi de la musique québécoise. 

Afin de vous mettre dans l’ambiance de cette belle soirée, nous avons profité du moment pour prendre quelques images. 

Crédit photo : Martin Desbois / Éklectik Média