Le ton est léger et amusant, ce qui est plutôt rafraîchissant lorsque l’on repense à la fin misérable d’Avengers : Infinity War.
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Le ton est léger et amusant, ce qui est plutôt rafraîchissant lorsque l’on repense à la fin misérable d’Avengers : Infinity War.
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Grâce aux performances crédibles des acteurs et leur fluide chimie, les rôles atteignent une humanité qui fait du bien de voir sans artifice aucun à l’écran.
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En parcourant les nombreuses nominations, un constat s’impose : les membres du jury ont mis de l’avant la diversité, la relève et les séries qui ont le plus attiré l’attention du public.
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Assumant pleinement sa folie, son idéalisme et son ton décalé absolument improbable, le film pousse les cinéphiles à s’interroger sur les malaises et stéréotypes qu’ils ressentent dans une atmosphère comique et légère qui évite brillamment les lourdes morales à deux sous.
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Son authenticité brut et sa manière de traiter de sujets lourds sans ne jamais tomber dans le pathos finiront sans aucun doute par rejoindre les adolescents.
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On ne va pas se le cacher, le genre slasher est mort depuis beaucoup trop longtemps. Les années 90 ont vu Scream et les années 2000… pas grand chose. Le pauvre remake de Sorority Row, peut-être…
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Le film débute alors que nous assistons aux funérailles de la mère d’Annie (Toni Collette). Nous comprenons que la défunte n’a pas eu une vie très facile; son fils ainsi que son mari sont décédés il y a quelques années et la maladie mentale, dont la schizophrénie, fait partie des antécédents familiaux. Peu de temps après le décès, Annie ressent la présence de sa mère dans la maison alors que celle-ci travaille dans son atelier de création de maquettes. Son mari, Steve (Gabriel Byrne) un homme plutôt rationnel tente de préserver leur garçon aîné, Peter (Alex Wolf) et Charlie (Milly Shapiro) des dires de sa femme et tente de raisonner cette dernière.
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