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On ne va pas se le cacher, le genre slasher est mort depuis beaucoup trop longtemps. Les années 90 ont vu Scream et les années 2000… pas grand chose. Le pauvre remake de Sorority Row, peut-être…
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Le film débute alors que nous assistons aux funérailles de la mère d’Annie (Toni Collette). Nous comprenons que la défunte n’a pas eu une vie très facile; son fils ainsi que son mari sont décédés il y a quelques années et la maladie mentale, dont la schizophrénie, fait partie des antécédents familiaux. Peu de temps après le décès, Annie ressent la présence de sa mère dans la maison alors que celle-ci travaille dans son atelier de création de maquettes. Son mari, Steve (Gabriel Byrne) un homme plutôt rationnel tente de préserver leur garçon aîné, Peter (Alex Wolf) et Charlie (Milly Shapiro) des dires de sa femme et tente de raisonner cette dernière.
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Lydia Képinski, qui désire ardemment sortir du moule et qui y parvient haut la main, nous présente aucunement des arrangements clichés.
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Au-delà de ses sublimes prouesses vocales, la personnalité immensément attachante de Laurence Jalbert valait le détour.
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En enchaînant ses titres d’une part à l’autre de la scène, Rémi Chassé a fait preuve d’une grande générosité tout au long de son spectacle.
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Devant une foule participative qui doit encore voir mal aux pieds aujourd’hui après tous ces sauts dans les airs , le duo a livré une performance investie, engagée et passionnante.
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Malgré qu’il donnait l’impression de se cacher derrière sa casquette, Loïc a su nous livrer une belle prestance que le public présent a pu lui rendre en retour.
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